Dans le cadre d'un contrat d'achat d'électricité conclu entre les entreprises Aspiravi et Google, cette dernière société achète chaque année 59,2 MW d'énergie éolienne à Aspiravi. Il s'agit de la capacité installée de 9 nouveaux parcs éoliens construits par Aspiravi en Belgique, qui seront opérationnels d'ici fin 2024.
Les deux entreprises sont fières de ce partenariat, qui non seulement accroît la part des énergies renouvelables en Belgique, mais qui contribue également à relever de nombreux objectifs climatiques visant à réduire les émissions de CO2.
Google et Aspiravi ont toutes les deux la même ambition en Belgique : réaliser la transition énergétique des combustibles fossiles vers une production d’énergie sans carbone. Une énergie plus locale et plus verte contribue non seulement à la réalisation des objectifs énergétiques nécessaires, mais aussi à une plus grande indépendance énergétique vis-à-vis de l’étranger. L’ambition des deux entreprises s’inscrit dans une vision commune, à savoir travailler avec d’autres pour transformer le secteur de l’énergie et créer un avenir plus durable pour tous.
Les objectifs en matière d’énergies renouvelables s’inscrivent dans un cadre plus large pour Google. L’entreprise vise, en effet, à faire fonctionner ses centres de données et ses bureaux avec de l’énergie sans carbone (CFE) 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 sur tous les réseaux qu’elle exploite d’ici à 2030, sur la base d’une mesure horaire.
En Belgique, l’entreprise estime qu’en 2024, ses centres de données et ses bureaux fonctionneront avec 85 % d’énergie sans carbone, mesurée sur une base horaire. Pour y parvenir, elle a signé un contrat d’achat d’électricité (CAE) avec Aspiravi pour une capacité de 59,2 MW d’énergie éolienne. Pour Google, il était essentiel que l’énergie verte produite dans le cadre de ce contrat provienne d’éoliennes nouvellement construites, ce afin que la part des énergies renouvelables en Belgique augmente grâce aux efforts et à l’ambition de Google. D’autre part, il était également très important pour l’entreprise de pouvoir conclure cet accord avec une société 100 % belge, un partenaire local qui produit de l’énergie verte locale, comme c’est le cas d’Aspiravi.
Selon, Thierry Geerts, Country Manager Google BeLux : “La durabilité est l’une des valeurs fondamentales de Google depuis sa création et nous sommes à l’avant-garde de la réalisation d’un avenir sans carbone depuis plus d’une décennie. Notre ambition de fonctionner entièrement avec de l’énergie sans carbone d’ici 2030, partout dans le monde, nécessite des partenariats avec des entreprises énergétiques clés comme Aspiravi, qui s’engagent conjointement à atteindre des objectifs en matière d’énergie durable. Ce nouveau contrat d’achat d’électricité nous permettra de fonctionner avec près de 85 % d’énergie sans CO2 sur une base horaire pour nos bureaux et centres de données en Belgique d’ici 2024.”
Pour reprendre les propos de Rik Van de Walle, directeur général d’Aspiravi : “Aspiravi est très fière de sa collaboration avec Google, une entreprise internationale qui a une vision très claire en matière de développement durable. Aspiravi partage cette vision et veut être le partenaire local des entreprises en matière d’énergie renouvelable. Avec nos clients, nous travaillons sur des solutions énergétiques durables pour leurs entreprises. Nous sommes ravis de contribuer à l’écologisation de la production d’électricité en Belgique avec des entreprises comme Google.”
Aspiravi a conclu avec Google un contrat d’achat d’électricité (CAE) d’une capacité de 59,2 MW d’énergie éolienne provenant d’éoliennes performantes construites et réparties dans 9 nouveaux parcs éoliens. Ainsi, Aspiravi ne se contente pas de produire de l’énergie verte locale, mais la fournit également à des entreprises à forte consommation d’énergie qui cherchent à rendre leur politique énergétique plus durable. L’entreprise développe des solutions sur mesure pour répondre aux besoins énergétiques de ses clients.
Aujourd’hui, la capacité installée de l’ensemble des machines du groupe Aspiravi (249 éoliennes terrestres, 172 éoliennes offshore et 2 centrales à base de déchets de bois non recyclables) permet d’éviter des émissions annuelles de CO2 de 2,4 millions de tonnes.